Dans un avion en plein air :
Stan : Comment ça va?
Penny : ça va super, c’est géniale
Stan : T’en fais pas, ça va aller, tu sais qu’on meure plus sous la douche que en avion?
Penny : Ravie de le savoir, intéressant
Stan : Je pensais pas qu’on aurait si mauvais temps
Penny : Est-ce qu’on pourrait atterrir s’il te plait !
Stan : Un peu de patience, on est presque arrivés, je suis désolé
Penny : C’était quoi ce truc ?
Stan : Quoi ?
Penny : J’ai vu quelque chose là, passer près de nous c’était gigantesque !
Stan : C’était probablement un oiseau.
Penny : Non, non Stan, ça pouvait pas être ça !
Stan : Alors c’était quoi ?
Penny : Non rien.
Stan : Y’a rien ici, à part nous ! Je t’assure, tu n’a que à fermer les yeux !
Penny : Non !
Stan : ça va aller, allonges toi un peu, détends toi, tiens essayes de penser à un endroit calme.
Penny : Oui, d’accord.
Stan : Une plage déserte, le bruit des vagues. Oh !
Penny : Stan ? Ah c’est pas vrai, non, ah non non non ah !!!!
L’avion est sur le point de se cracher…
SUPERNATURAL
Dans la panic room, Castiel vient d’en sortir après avoir regardé si Sam avait son âme :
Dean : Alors ?
Castiel : Son âme est à sa place.
Dean : Est-ce qu’il va se réveiller ?
Castiel : Je ne suis pas un médecin humain Dean.
Dean : Tu as bien une idée, non ?
Castiel : Comme tu veux, probablement pas.
Dean : Je te remercie pour le tact !
Castiel : Je suis désolé, mais je t’avais prévenue de ne pas lui restituer son âme.
Dean : Et qu’est-ce que tu aurais voulu que je fasse ? Que je laisse le terminator en liberté, en priant pour qu’il ne tue personne !
Castiel : Laisse moi te dire quelque chose, tu veux savoir quelle sensation j’ai eu, quand j’ai touché son âme, j’ai eu l’impression que quelqu’un l’avait écorché vif. Si tu voulais tuer ton frère, tu aurais dû le faire franchement.
Dans le salon de Bobby, il sert à boire à Dean :
Bobby : Comme mon vieux père disait toujours, c’est pas parce que ça te flingue le foie, que c’est pas un médicament. Sam dort toujours ?
Dean : Ouais
Bobby : Il va se réveiller !
Dean : Ouais
Bobby : Dean, il en a vu des vertes et des pas mures, et chaque fois, il est arrivé à s’en remettre.
Dean : Il a jamais vécut ça ! Une affaire ?
Bobby : Possible
Dean : Je peux t’aider, faire des recherches en bibliothèque ? Tout ce que tu veux ?
Bobby : Un couple s’envole à bord d’un petit avion, on vient de retrouver l’épave dans la forêt.
Dean : Ils ont fini comme Buddy Holly, ça n’a pas l’air très surnaturel comme truc.
Bobby : Le pilote a été retrouvé à trente kilomètres de l’avion, flambé. Et la fille s’est volatilisée. Y’a pas de corps, rien du tout.
Dean : Là tu commence à m’intéressé.
Sam : Dean ?
Dean : Sam, Est-ce que ?
Bobby : Content de te revoir !
Sam : Une seconde, je t’ai vu, je l’ai senti, quand Lucifer t’a brisé le cou !
Bobby : Disons que Castiel m’a fait …
Sam : Castiel est en vie?
Dean : Eh oui il est en pleine forme, Sam qu’est-ce que tu as?
Sam : ça va mais je euh, je meurs de faim !
Dans la cuisine, Sam mange :
Dean : Alors raconte ?
Sam : Quoi ?
Dean : C’est quoi le dernier truc dont tu te souviennes ?
Sam : Le cimetière et puis je suis tombé.
Dean : Bon et ensuite ?
Sam : Euh, je me suis réveillé dans la chambre forte.
Bobby : C’est tout ? Tu veux dire que tu te rappelle pas ?
Dean : C’est plutôt une bonne chose, qui a envie de se souvenir de l’enfer ?
Sam : J’y suis resté combien de temps ?
Dean : Environ un an et demie !
Sam : Pardon ? Je suis resté en enfer … Mais je me souviens de rien, comment est-ce que j’ai pu revenir, grâce à Castiel ?
Dean : Non, pas tout à fait !
Sam : Dean, qu’est-ce que tu as fais ?
Dean : Moi et la mort …
Sam : La mort ? Tu te fous de ma gueule ?
Dean : J’avais un moyen de pression, tout est réglé !
Sam : Tu en est sur ?
Dean : C’est du passé, un nouveau départ
Bobby : C’est pas beau ça, quand tout s’arrange !
Dean : Tu l’as dit Bobby, ça change pour une fois.
Sam : Il y’a autre chose que je devrais savoir ?
Dean : Hum non, une autre bière ?
Sam : Euh ouais
Dehors, Bobby répare une voiture et Dean lui apporte une bière :
Dean : Hey !
Bobby : Comment il va ?
Dean : Et ben, il va bien. Super bien, mieux que je l’espérais
Bobby : Ah ouais ?
Dean : Quoi ? Quelque chose ne va pas ?
Bobby : Je suis content qu’il aille mieux, je t’assure, mais … je te rappelles qu’il y’a même pas dix jours, ton frangin a essayé de me planter ! Et aujourd’hui, tu voudrais que je fasse comme si de rien n’était ? Désolé, mais j’ai déjà du mal à le regarder droit dans les yeux.
Dean : C’était pas Sam !
Bobby : Peut être qu’il était pas là en entier, mais c’était quand même lui.
Dean : Qu’est-ce que tu voudrais Bobby ? Qu’on aille tout lui raconter ?
Bobby : Non, mais j’aimerais bien qu’on puisse !
Dean : On a aucunes idées de ce qui se passera si on lui déballe tout, ça risquerait de fissurer le mur.
Bobby : Je sais, je sais !
Dean : Je vais te dire un truc, en ce qui me concerne, on nous a fait un cadeau, et je cherche pas la petite bête. Je vais peut être même envoyer à la mort un panier de fruits.
Bobby : Il finira par savoir la vérité. D’une façon ou d’une autre, quelqu’un va tout lui dire ou il le découvrira tout seul, c’est pas un crétin. Il devrait l’apprendre de nous.
Dean : Tu veux bien qu’on attende un petit peu avant de lui dire.
Bobby : Si tu veux, mais tu ferais mieux de te préparer au retour de bâton. Parce que quand il aura comprit qu’on lui a joué de la flûte. Ca risque de ne pas être joli, joli.
Plus tard, ils préparent leurs affaires :
Bobby : Sam dort toujours ?
Dean : Ouais, laissons le se reposer, on l’appellera plus tard
Sam : M’appeler d’où ?
Dean : Oh, y’a un truc dans l’Oregon.
Sam : Géniale en voiture !
Dean : Oh attends, attends, attends. Tu viens de ressuscité.
Sam : Ben ouais, je suis en forme c’est bon ! .
Dean : Encore quelques jours à mater la télé te feront pas de mal.
Sam : Ouais, t’es sur que c’est-ce que toi tu as fais, quand tu es revenu de l’enfer?
Dean : Euh, ça marche. Toi, moi et Bobby.
Bobby : Non, allez y tout les deux, vous vous en sortirez, j’ai oublié que j’avais promis à ce crétin de Rufus que je tiendrais le standard pour lui. Alors pour le coup …
Dean : T’es sur ?
Bobby : Ouais, ouais, profitez en pour rattraper le temps perdu.
Sam : Qu’est-ce qui lui arrive ?
Dean : Surement le grand âge et l’abus de boissons.
Dans la voiture, Sam est au téléphone :
Sam : Très bien on s’en occupe, je vous remercie, à vous aussi. Devine quoi ? A part le crash, il y’a eu deux autres disparitions en ville cette semaine.
Dean : Sérieux ?
Sam : Ouais le week-end dernier, une étudiante a disparu de son appartement, au 17èmeétage. Et il y’a trois jours, une autre fille n’est pas rentrée chez elle après les cours.
Dean : Elles se connaissent ?
Sam : Non aucuns liens, à part que ce sont des filles jeunes, comme celle du crash.
Dean : Qu’est-ce qui enlèverai une fille en plein ciel ?
Sam : Bonne question ! Tu n’a même pas essayer hein ?
Dean : Quoi ?
Sam : D’avoir une vie normale, après. Tu te souviens de ta promesse j’espère ?
Dean : Oui je m’en souviens.
Sam : Et pourquoi tu n’a pas essayé ?
Dean : Qu’est-ce qui te fait croire ça ?
Sam : Regarde toi, tu chasses toujours, tu es exactement le même que avant.
Dean : Ouais tu as surement raison ! Je suis resté avec eux pendant un an, avec Lisa et Ben.
Sam : Un an, il s’est passé quoi ?
Dean : ça n’a pas marché.
A Portland, Dean et Sam interrogent la sœur de la victime du crash :
Dean : Vous êtes la sœur de Penny Dessertine, c’est ça ?
Sœur de Penny : Humhum
Sam : On voudrait juste vous posez quelques questions ?
Sœur de Penny : Ecoutez la police est déjà passée, je suis fatiguée, donc si vous permettez …
Sam : Oui je comprend, je vous assure, ça doit être très dur pour vous. On voudrait juste comprend ce qu’il s’est passé, on fera vite, je vous le promet.
Sœur de Penny : Bon, suivez moi.
Dans la chambre de Penny :
Sœur de Penny : Penny était très timide, elle restait dans son coin, sa vie était tout sauf aventureuse
Dean : Pas le genre à voler en biplace au milieu d’un orage
Sœur de Penny : Cet engin la terrifiait littéralement, elle a acceptée pour faire plaisir à Stan.
Sam : Stan ?
Sœur de Penny : ça commençait tout juste à devenir sérieux entre eux, elle voulait pas avoir l’air vous voyez, d’en avoir rien à faire. J’aurais du lui dire de rester à la maison. On a même pas son corps pour l’inhumation.
Au motel :
Sam : Ah !
Dean : Du nouveau ?
Sam : Euh, et ben, on dirait que les deux autres disparus faisaient des petits biscuits en l’honneur du seigneur.
Dean : C’est un message codé ?
Sam : Non, la chorale, les ventes de gâteaux, les bagues de pureté, tout le tralala, ce sont de vraies saintes. Mais Penny elle, n’a rien de mystique.
Dean : J’ai une autre théorie, tiens son journal intime.
Sam : Tu lui as piqué dans sa chambre ?
Dean : J’adore le fait que tu me le demande.
Sam : Pourquoi je le ferais pas ?
Dean : J’en sais rien, des enlèvements de jeunes filles, ça concerne peut être pas la religion mais plutôt la pureté.
Sam : Tu penses qu’elles sont toutes …
Dean : Des vierges Sam des vierges
Sam : Penny a 22 ans ?
Dean : Elle pionce dans une chambre rose
Sam : Et alors ?
Dean : Elle a des nounours en peluches !
Sam : Bon d’accord, mais tu crois vraiment que …
Dean : C’est décidé, je veux offrir à Stan, mon cadeau le plus précieux
Sam : C’est marrant, dans ta bouche ça sonne affreusement pervers.
Dean : Moi je trouve que je l’ai bien joué.
Sam : T’aurais pu le lire un peu plus neutre, tu vois le genre, ce serait mieux passé. Bon enfin bref, admettons que tu ai raison, qui voudrait des vierges ?
Dean : ça je sais pas, moi je les préfères avec de l’expérience !
Dans la rue des jeunes filles discutent :
Fille 1 : Il aurait quand même pu éviter vous trouvez pas?
Fille 2 : Ouais tu as raison.
Fille 1 : Mais il est trop imbu de sa personne, ça ne m’étonne pas de lui. Heu c’est par là chez moi.
Fille 2 : D’accord, bonne soirée.
Fille 3 : D’accord, on se voit demain.
Fille 1 : Salut, bonne soirée.
Elle poursuit son chemin, mais soudain quelque chose venant du ciel, semble vouloir l’attaquer. Elle court …
Fille 1 : Non, non. Ah !!!
A l’hôpital, Dean et Sam interrogent la jeune fille :
Fille : Tout s’est passé si vite !
Sam : ça va aller Mélissa. Qui vous a attaquée, vous pouvez nous le dire ?
Mélissa : Heu, on aurait dit, une énorme chauve-souris, vous croyez que je vous mens c’est ca ? C’est-ce que pensait l’autre gars.
Sam : Et bien je ne suis pas l’autre gars.
Mélissa : Cette chose s’est jetée sur moi, elle était gigantesque, c’est la vérité. Et elle m’a fait ça.
Sam : Donc elle vous a attaquée, qu’est-ce qui s’est passé après ?
Mélissa : J’en sais rien, j’ai perdu connaissance, en me réveillant, elle était plus là.
Sam : Est-ce que vous auriez d’autres détails à nous donner, n’hésitez pas, même si ça ne semble pas important ?
Mélissa : Et bien j’ai perdu ma bague, ou alors cette chose me l’a volée et je vois pas pourquoi elle ferait ça.
Dean : Quel genre de bague ?
Mélissa : En or, une bague de chasteté.
Dean : Une bague de chasteté ? D’accord, vous l’avez eu à votre église ? Une sorte de bague de pureté ?
Mélissa : Oui, pourquoi ?
Dean : Hum, j’aurais une question Mélissa, personne dans cette pièce ne juge personne. Vous n’avez rien à craindre, vous êtes sur d’avoir le droit de la porter?
Mélissa : Bien sur, enfin je veux dire … je suis …
Dean : Vraiment ?
Mélissa : Matt Barne ça comptait pas !
Sur le parking de l’hôpital, Dean et Sam retournent près de la voiture :
Sam : Sérieux, tu penses que Batman a tenté de la violer ?
Dean : Ben faut avouer qu’il est pas très stable. Mais il l’a rejeté parce que mademoiselle avait déjà vu le loup.
Sam : Tu crois ?
Dean : En tout cas ça prouve bien une chose, être une fille facile ça a ces bons cotés !
Sam : Quel genre de monstre aime les vierges et l’or ?
Dean : Puff Daddy
Sam : Y’a un truc qui me rassure.
Dean : Quoi ?
Sam : Je suis mort pendant 1 an, je suis revenu, et tu es toujours pas drôle.
Dean : N’importe quoi, je suis à mourir de rire.
Sam : Pfffff
Dans leur chambre de motel :
Sam : Non, c’est pas possible !
Dean : Explique ?
Sam : J’ai fais une recherche sur les griffes, le feu, les ailes, l’enlèvement des vierges, et l’or. Et je tombe à chaque fois sur les mêmes sites.
Dean : C’est-à-dire ?
Sam : Des sites de fans de jeu de rôle en ligne
Dean : Là je te suis pas.
Sam : Des dragons Dean, tu vois je te l’avais dit, impossible.
Dean : Peut être pas tant que ça
Sam : Ah ouais, et dans quelle réalité ?
Dean : Cà été une année bizarre, on va demander à Bobby.
Chez Bobby :
Bobby : Allo ?
Dean : Qu’est-ce que tu sais sur les dragons ?
Bobby : Hein, ben rien du tout.
Dean : Je suis sérieux
Bobby : Attend, on est pas en train de causer du monstre du Lockness, les dragons ça existe pas.
Dean : Tu peux pas passer un petit coup de fil ?
Bobby : A qui ? Harry Potter.
Dean : Fais moi plaisir !
Bobby : Bon d’accord.
Dean : On serait perdu sans toi, tu sais ?
Bobby : Ouais ouais ouais, c’est ça. Au faites, il va comment notre miraculé amnésique ? Il t’a coincé à lui raconter des bobards ?
Dean : Tout va très bien, t’a le bonjour de Sam.
Dean raccroche
Sam : ça va ?
Dean : Ouais
Sam : Bobby t’a dit quelque chose ?
Dean : Euh non.
Les garçons font des nouvelles recherches :
Dean : Papa n’a jamais parlé de Dragon. Fais moi confiance, je m’en rappellerais si y’avait l’Histoire sans fin là dedans.
Sam : On a chassé un porteur de peau récemment ?
Dean : Non ça ne me dit rien, pourquoi ?
Sam : J’en sais rien, j’ai l’impression d’avoir déjà vécu ça. T’en ai sur, parce que j’aurais juré …
Dean : Je te rappelle que tu as le cerveau comme de la sauce blanche là haut. Alors moi j’en suis sur.
Sam : Bon, si tu le dis, c’est pas grave.
Le téléphone sonne :
Dean : Allo Bobby, quoi de neuf ?
Bobby : Je sais pas pourquoi, j’ai pas tout de suite pensé à elle. Le docteur Visyak, elle est prof d’histoire médiéval à San Francisco.
Dean : Le docteur Visyak à San Francisco, c’est noté merci.
Il raccroche :
Dean : Bon, je vais à San Francisco pour savoir comment tuer ces trucs. Toi cherche où ils se cachent.
Sam : Attend, est-ce que Bobby t’a dit, où ils aiment se planquer?
Dean : Non
Sam : Géniale, je repars sur les légendes
Dean : Et ça dit quoi, qu’ils habitent la terre du milieu ?
Sam : Non, dans des grottes.
Dean : Espèce de Geek.
Dans une grotte :
Des filles coincés dans des cages : Je vous en supplie, laisser moi partir, s’il vous plait, laisser moi partir.
Un homme qui apporte une nouvelle fille : La ferme ! Boucle là !
Fille : Pitié, non, non !!!
Homme : Ferme là, ou alors je te casse l’autre, entre là dedans, dépêche toi !
Penny : ça va aller, je te le promets !
Dean arrive devant la maison du Docteur Visyak, et il sonne à l’interphone :
Dr Visyak : Oui ?
Dean : Dr Visyak, je m’appelle Dean Winchester.
Dr Visyak : Je ne reçois que sur rendez-vous le lundi et le vendredi.
Dean : C’est Bobby Singer qui m’envoie, Docteur ? Salut !
Dr Visyak : Bobby Singer, vous pourriez lui passez un message quand vous le verrez ?
Dean : Hum Hum
Dr Visyak : A la réflexion, mettez lui un coup de pied dans les parties, ça sera bien mieux comme ça. !
Dean : Vous le portez pas dans votre cœur on dirait ?
Dr Visyak : Non c’est tout le contraire.
Dean : Wow !
Dr Visyak : C’est à lui de vous raconter. C’est lui le crétin. Qu’est-ce qui vous emmène ici ?
Dean : Et bien, il s’agit de dragons.
Dr Visyak : Vraiment ?
Dean : Je m’attendais à une blague sur les jeux de rôles.
Dr Visyak : On peut blaguer puisque les dragons ont disparu, mais ils n’ont rien d’amusant du tout.
Dean : Et ben il y’a en un qui est entré sur le territoire.
Dr Visyak : Vous en êtes sur ?
Dean : Cà cadre avec les légendes.
Dr Visyak : Mais comment c’est possible, leurs espèces s’est éteinte il y’a 700 ans.
Dean : Il se passe un paquet de trucs pas net ces temps ci, doc !
Dr Visyak : Donc, vous voulez savoir comment le tuez ?
Dean : C’est exact.
Dr Visyak : Il vous faut une épée.
Dean : D’accord, quel genre d’épée ?
Dr Visyak : Une épée forgé dans le sang d’un dragon.
Dean : Il faut une épée pour le tuer, mais il faut en tuer un pour forger l’épée. Ca se mord la queue votre truc.
Dr Visyak : Il n’y a plus beaucoup d’épées tueuses de dragons dans notre monde, cinq ou six maximum sur la planète. Il y’a l’épée de Saint-Georges bien sur et il y’a Excalibur…
Dean : Vous en savez long sur le sujet on dirait ?
Dr Visyak : ça vaut mieux pour moi, j’en ai une dans mon sous-sol.
Dean : Vous en avez une ?
Dr Visyak : Là retrouver, m’a coûtée 20 ans de recherches acharnés et une partie de jambes en l’air atroce avec un ambassadeur de l’Europe de l’Est. Mais oui, j’en ai une.
Dean : Non ça peut pas être vrai. C’est une vraie ? C’est Excalibur ?
Dr Visyak : Hum non, ceci est l’épée de Brunswick. L’amour de ma vie.
Dean : Et alors, elle sert à quoi la bottine en ciment ?
Dr Visyak : Sceller une épée dans un rocher c’était la grande mode à l’époque, pour les protéger.
Dean : Et comment on fait pour libérer cette beauté ?
Dr Visyak : Vous devez connaître la réponse, seul un chevalier au cœur pur, pourra sortir l’épée et terrasser la bête !
Dean : Ouais bien sur. Dans ce cas, est-ce que … ça vous dérange que je tente le coup ?
Dr Visyak : Non … Est-ce que ça va ?
Dean : Impeccable … Oh nom de dieu c’est sacrément coincé !
Dr Visyak : Oui, j’en ai bien peur.
Dean : Je crois que j’ai une autre idée.
Dr Visyak : Laquelle ?
Dean : Mais ça va pas vous plaire.
Au motel Sam fait toujours des recherches sur les dragons, il appelle Bobby :
Bobby : Sam, où est Dean ?
Sam : Salut, il est allé voir ton amie. Dis donc, je suis en train d’essayer de trouver l’endroit où cette chose se planque. T’aurais une idée au cas où ?
Bobby : C’est quoi les paramètres ?
Sam : Des grottes, c’est pas très sorcier, mais je trouve rien dans les parages.
Bobby : Bon d’accord, on oublie le sens littérale, qu’est-ce que tu as dans le coin, qui soit froid sombre et humide ?
Sam : Euh voyons euh … Y’a pas de tunnels de métro, les égouts, c’est surement ça, merci.
Bobby : De rien.
Sam : Bobby, attends ! Ça va ?
Bobby : Ouais évidement, pourquoi il y’a un souci ?
Sam : En dehors de ta façon de conduire et de me parler, non. Tu n’as rien à me dire ?
Bobby : Non, occupe toi simplement de trouver où se cache Godzilla.
Sam : Je voulais savoir, il s’est passé quelque chose pendant cette année ?
Bobby : Il y’a eu des hauts et des bas, pas plus que d’habitude, mais ça n’a rien avoir avec toi, tu étais en enfer.
Sam : Ouais bien sur.
Bobby : Appelle moi si tu as besoin.
Sam : D’accord !
Sam appelle Castiel avec une prière :
Sam : Castiel, je suis revenue, donc si jamais tu as deux minutes ?
Castiel : Sam je suis si heureux de te voir en vie.
Sam : Ouais, content de te voir aussi. Euh … je suis pas contre un câlin mais …
Castiel : Oui ce serait embarrassant.
Sam : ça a été une année de dingue, je viens juste de parler à Bobby et il m’a expliquer ce qui s’est passé.
Castiel : Honnêtement, je suis surpris que tu es survécu. J’ai supplié Dean de ne pas le faire.
Sam : Ouais, non je comprend tout à fait, c’était risqué.
Castiel : C’est un miracle que tu n’y sois pas resté.
Sam : Ouais c’est un miracle c’est sur.
Castiel : Quel effet ça fait ?
Sam : Quoi ?
Castiel : Et bien d’avoir récupéré ton âme ?
Sam : Oui évidement c’est vrai que j’avais perdu mon âme, euh ça fait du bien. Beaucoup de bien ouais, mais j’ai un problème j’ai un peu de mal de me souvenir de certains détails tu comprends. Tu crois que tu pourrais me rafraichir la mémoire ?
De retour chez le docteur Visyak, Dean a préparé des explosifs pour extraire l’épée du rocher :
Dr Visyak : Une seconde, non non non, votre idée ne me plait pas du tout. Est-ce que vous vous rendez compte qu’il s’agit de l’objet le plus précieux, que vous ayez jamais toucher de votre vie ?
Dean : C’est aussi la seule arme qu’on ait !
Dr Visyak : Oh !
Dean : Ecoutez, je sais très bien ce que je fais, c’est Bobby qui me l’a appris, quoi qu’il est pu ce passer entre vous, vous savez très bien que c’est un génie dans sa branche ? Vous voulez que je tue ce dragon ou pas ?
Dr Visyak : Bon allez y !
Dean : Faites moi confiance. Vous les rochers vous vous croyez malins. Et voilà, bienvenus dans le 21ème siècle, attention reculez. Un jeu d’enfant, vous voyez. Vous êtes assurée tout risques non ?
De retour au motel :
Sam : Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse avec ça ? Qu’on lui cure les griffes ?
Dean : C’est tout ce qu’on a ! Il suffira qu’on l’attaque d’un peu plus près et puis voilà. Tu en ai où sur les grottes ?
Sam : Nulle part, en revanche du coté des égouts, tiens regarde ça. Deux des filles ont disparus dans un rayon de deux kilomètres. Autour de cette entrée, j’ai pensé qu’on pourrait partir de là et voir ce qu’on trouve.
Dean : Géniale, j’adore les égouts, allons y. Quoi ?
Sam : Rien, aller en route.
Dans les égouts :
Dean : Ah la vache, chaque fois que je m’habitue à une odeur, on retombe sur un nouveau parfum, ça fait des heures qu’on tourne en rond, y’a rien du tout, les légendes se sont gourées. Ah tiens et si les dragons logeaient dans un 4 étoiles ?
Sam : C’est quoi ça ?
Dean : Quoi ? Nom d’un petit bonhomme, y’a peut être des dragons dans le coin.
Sam Viens voir ça, on reviendra t’inquiète. Ça fait pas un peu loisir créatif, pour une énorme chauve-souris ?
Dean : Euh …
Filles : Y’a quelqu’un ??? Par ici vite !!! Oui, aidez nous s’il vous plait vite.
Dean : ça va, on va vous libérez.
Filles : Vite, il va bientôt revenir.
Dean : D’accord. Non !
Homme : Où est-ce que tu compte planter ça ? Où tu l’as trouvé ?
Dean : Dans une pochette surprise. Un petit effort.
Après avoir réussi à tuer un des dragons, Dean et Sam sont de retour chez Bobby :
Dean : Hey Sam, demande moi l’heure, s’il te plait.
Sam : Pourquoi tu te roules pas dedans pendant que tu y’es ?
Dean : C’est pas tout les jours que je suis riche, hé hé hé.
Sam : Dean ?
Dean : Ouais ?
Sam : Je voulais te dire, je suis vraiment désolé, je sais pas par où commencer …
Dean : De quoi tu parles ?
Sam : Tu sais très bien !
Dean : C’est Bobby ?
Sam : Castiel.
Dean : Castiel ! Quel crétin !
Sam : Tu aurais dû me le dire
Dean : Tu étais pas censé le savoir.
Sam : Ce que je vous ai fait, à Bobby et à toi, j’ai le droit de savoir.
Dean : Sam, la mort elle t’a pas simplement rendu ton âme d’accord, elle a érigé la grande muraille de Sam tout autour, des choses dont tu dois pas te rappeler. Et je peux te dire que ce que tu ignore risque de te tuer, et c’est pas une blague.
Sam : D’accord, mais je dois arranger les choses, celle que je peux en tout cas.
Dean : C’est pas toi qui a fait ces choses.
Sam : Je vais te dire, j’ai un peu l’impression que quelqu’un a mis de la drogue dans mon verre. Et me réveiller en découvrant que j’ai foutu le feu à la ville toute entière. Tu peux dire que j’y suis pour rien mais, c’est moi qui est le briquet dans ma poche, tu vois, alors je pense pas que tout sois aussi clair et net. Je te remercie d’avoir tout fait pour me protéger, ça me touche beaucoup, mais je dois réparer, ce que je peux réparer. Alors il faut que je sache, ce que j’ai fais.
Dean : Tu te rend pas comte à quel point c’est dangereux ?
Sam : Tu ferais quoi toi ? Et oui tu ferais pareil.
Dean : Sam !
Bobby : Les garçons, vous devriez venir voir ça.
Dans la maison de Bobby :
Bobby : Pour autant que je puisse en juger, ce bouquin date du 14èmesiècle.
Sam : C’est écrit en quelle langue ?
Bobby : En Da Vinci Code, une forme de latin pratiquement inconnu. Ça va me prendre le restant de mes jours pour le traduire en entier. Ah oui, pour votre information, c’est pas du papier.
Dean : C’est quoi alors ?
Bobby : De la peau humaine, bon alors j’ai réussi à traduire toute la première partie, pour faire court c’est la description d’un lieu. Voyez ça comme la toile de fond de vos pire cauchemar où il n’y est que ténèbres insondables, piles d’osements et rivières de sang. Entassés là, on retrouve les dépouilles et les âmes de toutes les créatures les plus malveillantes et sanguinaires qui soit.
A l’extérieux on retrouve l’homme qui avait enfermés les jeunes vierges. Il retrouve un de ces amis :
Homme 2 : Où sont les filles ?
Homme 1 : J’ai eu un petit problème.
Homme 2 : Tu as du bol que j’en ai assez !
Homme 1 : C’est ton jour de chance ma jolie, emmène toi, aller !
Chez Bobby :
Sam : Des monstres ?
Bobby : Le pays des monstres, selon ce carnet y’aurait plusieurs noms, la plupart que je peux à peine prononcer, mais le purgatoire ça doit vous dire quelque chose ?
Dean : Le purgatoire ? Fantastique ! C’est bon à savoir, et sinon, qu’est-ce que tu essaie de nous dire, hein ? Que nos copains les dragons, avaient établi leurs squat dans les égouts et qu’ils se lisaient des poèmes à propos du purgatoire ?
Bobby : Oh non, non, non. Ils lisaient un manuel d’instruction.
Dean : Pardon ?
Bobby : Si tu es suffisamment siffonnés pour essayer d’accéder à un endroit aussi craignos, ce carnet d’indiquera comment ouvrir une porte.
Dean : La porte du purgatoire, je connais un démon qui aurait été ravi de savoir tout ça. Et alors, elle s’ouvre comment cette porte ?
Bobby : Demande à Godzilla, je pense que c’est lui qui a arraché la page.
De retour à l'extérieur vers les dragons :
Homme 1 : Ego coniuro vos, insolubiliter ad mei potenciam aligati! Ad me...Sine prestolacione venire...
Fille : Arrêtez, non !
Homme 1 : Debeatis aperiat !
Homme 2 : ça passera tout seul si tu te détend.
Fille : Non !
Homme 1 : Huc sine mora debeas mater !
Chez Bobby :
Bobby : Et c’est pas le pire.
Sam : Tu plaisantes ?
Bobby : Ce carnet vous explique pas comment aller y passer une semaine de vacances. Il explique comment ouvrir une porte, pour laisser sortir quelque chose.
Sam : Pour le faire venir sur terre, c’est quoi ?
Bobby : Je travaille dessus.
Dean : Tu n’as rien de plus ?
Bobby : Si, un nom.
Dean : Vas y.
Bobby : Mère
Sam : Mère ? La mère de quoi ? La mère des dragons ?
Bobby : J’aimerais bien, son nom apparait plusieurs fois, mère de tous !
De retour à l'extérieur vers les dragons :
Homme 1 : Bienvenue
Fille : Vous m’avez fait attendre !
Chez Bobby :
Dean : ça veut dire quoi, mère de tous ?
Bobby : J’en sais rien
De retour à l’extérieur :
Fille : Nous avons beaucoup à faire, mettons nous à l’ouvrage !
Ecrit par bibou.